Au sommaire :
- Géographie du territoire communal
- L’urbanisme et le développement de La Clusaz au XXème siècle
- Les infrastructures d’accueil
- Les activités
- Quelques photos supplémentaires en vrac…
- Perspectives
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La Clusaz, un village du massif des Bornes/Aravis
La Clusaz est un village haut-savoyard situé au cœur du massif des Bornes/Aravis.
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Le massif des Bornes/Aravis est une zone montagneuse appartenant aux Préalpes françaises et regroupant deux massifs étroitement liés : les Bornes au nord et les Aravis au sud. Dans l’alignement du massif des Bornes/Aravis, on trouve le massif des Bauges (les Aillons, le Châtelard,…) et celui du Haut Giffre (Samoëns, Sixt Fer à Cheval, Flaine,…). . Ce massif des Bornes/Aravis comporte de nombreux villages dont neuf font partie des nombreuses stations de ski françaises. Il s’agit des communes de La Clusaz, du Grand-Bornand, de Manigod, de Saint-Jean de Sixt, de la Giettaz, de Combloux, de Cordon, du Mont-Saxonnex et du Reposoir. |
La Clusaz est situé à 30 minutes d’Annecy, préfecture de la Haute-Savoie, et à 1 heure de Genève en Suisse voisine. La commune est délimitée au nord la montagne du Danay, à l’est par la chaîne des Aravis, au sud par Manigod et à l’ouest par la commune de Saint-Jean de Sixt :
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Géographie du territoire communal
La chaîne limitrophe :
La chaîne des Aravis sépare La Clusaz de La Giettaz, située dans le Val d’Arly. Elle se caractérise par une suite de grandes combes, descendantes jusque dans la vallée du Bouchet au Grand-Bornand sur ces points le plus bas. Son point culminant est la Pointe-Percée (2750m) et est l’objet de grandes randonnées, notamment dans le cadre du tour des Aravis. La végétation s’arrête au niveau des 2000 mètres d’altitude pour laisser place à la roche calcaire qui se dresse jusque sur les sommets pentus.
La chaîne des Aravis, sur son versant nord-ouest, s’étale du Reposoir au Bouchet-Mont-Charvin. Les principaux sommets de cette chaîne qui sont présents sur le territoire de La Clusaz sont Tardevant (2501m), Tête Pelouse (2537m), la Roualle (2589m), la Grande Balmaz (2616m), Les Parrossaz (2556m) et la Pointe de Merdassier (2313m).
Une partie de la chaîne des Aravis vue des Riondes
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Le col des Aravis, marquant une coupure franche en plein milieu de la longue chaine des Aravis
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La partie nord de la chaîne des Aravis vue depuis le sommet de Beauregard
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Les simples montagnes limitrophes :
Le Danay est une montagne entourée par La Clusaz, le Grand-Bornand et Saint-Jean de Sixt. Véritable point de convergence du massif, il reste malgré tout encore assez sauvage malgré des débuts d’aménagements avec les parcours de ski de fond et de VTT. Son sommet, la tête du Danay, culmine à 1731m et est accessible en moins d’une heure à pied depuis les Confins. Cette montagne est très boisée, permettant l’exploitation de cette ressource naturelle.
Le Danay, sur lequel se sont dressés de nombreuses maisons le long de la route des Confins
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Le sommet du Danay vue depuis la combe de Balme en été, avec le sommet de la “Petite Torchère” à gauche
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Beauregard est une montagne à cheval sur les communes de La Clusaz, de Saint-Jean de Sixt, des Villards/Thônes, de Thônes et de Manigod. Ce site classé Natura 2000 est un lieu très propice au développement d’une faune et flore variée. En effet, si on retrouve une forte surface boisé, le sommet est un vaste plateau mixant des alpages avec des zones plus marécageuses. Cette montagne fut très rapidement prisée et ainsi aménagée dès 1955 avec la construction d’un téléphérique depuis La Clusaz. Le site est ainsi devenu un vaste terrain de jeux, que ce soit l’été ou l’hiver, dont le sommet, la pointe de Beauregard, culmine à 1644m.
Beauregard vue depuis le secteur de Plattuy
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Le plateau de Beauregard
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Les vallées :
La Clusaz est une commune formant un V. Une première vallée part du centre du village pour monter jusqu’aux cols des Aravis et de la Croix-Fry : c’est la vallée du Gotty/l’Etale. La rivière qui y descend est le Nom. Il prend sa source au Col des Aravis et se jette ensuite dans le Fier à Thônes. Mais il est rejoint à l’Etale par le Nant des Prises, qui prend sa source sur le plateau de Beauregard.
La seconde vallée part du centre du village pour aller jusque sous la chaîne des Aravis : c’est la vallée des Confins, qui est le lieu où s’est fortement développé le tourisme à La Clusaz avec le secteur du Lac des Confins et le ski alpin sur la Combe de Balme. Le torrent qui descend dans cette vallée est le Var, qui prends sa source sur les Confins et plusieurs combes de la chaîne des Aravis.
La superficie totale de la commune est de 40.62 km². En 2017, le recensement faisait apparaître un total de 1734 habitants à l’année, soit une densité de 43 habitants/km². Les résidents de La Clusaz sont les Cluses.
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Les lacs et rivières :
La Clusaz possède cinq lacs sur son territoire. Quatre d’entre eux sont des lacs artificiels : ils ont été creusés pour les besoins de la neige de culture sur le domaine skiable. Ce sont les lacs du Plan du Lachat, du Crêt du Merle, de l’Etale et de la Ferriaz.
Le lac naturel des Confins, de part sa situation privilégiée avec une facilité d’accès, est devenu un lieu d’activité et de ressourcement. On peut le survoler par le biais de deux tyroliennes, faire le tour l’été ou regarder les skieurs essayer de le franchir chaque année lors du Défi Foly organisé fin avril.
Le lac des Confins : Lac naturel
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Le lac des Confins, vue de dessus |
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Le lac du Plan du Lachat a quant à lui été réalisé afin de permettre la réalisation du réseau de neige de culture sur le secteur de Balme. Il est situé sur un replat au pied de la Combe de Torchère. Il a été agrandi en 2013.
Le lac du Plan du Lachat :
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Le lac du Plan du Lachat en automne, avec le sommet du Danay en arrière-plan |
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Le lac de la Ferriaz a été lui aussi réalisé afin de permettre la réalisation du réseau de neige de culture sur le secteur de Beauregard. Il est situé au Corbassières, à mi-chemin de la montée sur le plateau depuis le centre du village.
Le lac de la Ferriaz :
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Le lac de la Ferriaz et la chaîne des Aravis |
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Le lac du Crêt du Merle est le premier à avoir été réalisé afin de permettre la création du réseau de neige de culture sur le massif de l’Aiguille. Il est situé à 200m du plateau du Crête du Merle, dans la forêt qui surplombe le Gotty.
Le lac du Crêt du Merle :
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Le lac du Crêt du Merle |
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Le lac de l’Etale, dernier né des lacs de la commune, a quant à lui été réalisé afin de permettre la création du réseau de neige de culture sur le secteur. Il est situé au niveau du départ du télésiège du Belvédère, à l’intermédiaire du massif.
Le lac de l’Etale :
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Au niveau des rivières, La Clusaz possède deux cours d’eau assez important.
La rivière du Nom prend sa source au Col des Aravis, sur la Pointe de Merdassier et l’Aiguille de Borderan. Il descend ensuite à l’Etale où il est rejoint par le Nant des Prises, prenant sa source sur le plateau de Beauregard. Il rejoint alors le village de La Clusaz où il récupère l’eau provenant du torrent du var, prenant sa source sur les Confins et les combes de Balme/la Creuse. Le Nom suit le défilé menant à la station, passe par Saint-Jean de Sixt puis les Villards/Thônes, pour finalement se jeter dans le Fier à Thônes.
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Histoire et patrimoine
L’histoire de La Clusaz remonte à longtemps, sans savoir exactement à quelle période. Le nom “Clusaz” provient du mot “cluse” désignant une enceinte fermée. En effet, avant 1902 et la construction de la route depuis Saint-Jean de Sixt, son accès était loin d’être aisé, surtout avec l’enneigement abondant sur les cols des Aravis et de la Croix-Fry.
Le village a traversé quelques époques, était sous le duché de Savoie (état italien) jusqu’en 1792, année où il fut rattaché à la France (département du Mont-Blanc). Après la chute de Nappoléon Bonaparte en 1815, les Savoies furent de nouveau repris par le royaume de Piémont-Sardaigne (Italie). Il faudra attendre 1860, et le traité de Turin, pour que les savoyards soient plébiscités pour décider de leur avenir : ils votèrent pour le rattachement de la Savoie à la France.
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Historiquement, La Clusaz est un village pastoral de montagne. C’est cette activité qui a donné le l’emblème de la commune avec le bélier. En 1601, le duc de Savoie Charles-Emmanuel 1er avait rendu visite aux habitants de La Clusaz pour la première fois. A cette occasion, il éleva le village au rang de bourg et permis aux habitants de tenir un marché hebdomadaire et deux foires annuelles. Les marchands devant payer une taxe à la commune pour vendre leurs produits sur l’étalage, les marchés étaient une activité très lucrative ! Les deux foires permettaient de réguler le cheptel du village, puisque les paysans pouvaient vendre des bêtes avant l’hiver sur celle d’automne et en acheter avant l’été sur celle de printemps. En effet, il était difficile pour eux de toutes les nourrir en hiver avec la neige présente presque six mois dans l’année. Ce fut donc à cette occasion que La Clusaz adopta l’emblème qui était à l’origine un mouton.
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Par la suite, l’activité agricole s’est développée avec la fabrication du reblochon, dont la méthode fut importée de la commune voisine du Grand-Bornand. Le reblochon est un fromage frais très apprécié pour être mangé en plateau ou dans des plats, tel que la tartiflette, les ravioles,… Il se caractérise par une pâte crémeuse, de couleur ivoire, et dégage un goût fruité avec une légère touche de noisette.
Un troupeau de vaches au col des Aravis, pour la production de reblochon
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Les familles d’agriculteurs vivaient dans des fermes qui avaient la particularité d’utiliser des matériaux disponibles facilement. Actuellement ces fermes sont encore présentes au sein de la commune et sont facilement reconnaissables. Elles se composent d’un soubassement en pierre maintenus avec de la chaux, d’une partie habitation et d’un toit en bois. Les forêts environnantes étant riche en épicéas, c’est ce matériau qui permettait de réaliser les murs et les toits. Sur ces derniers, on mettait traditionnellement des ancelles, une sorte de tuiles en bois qui n’était pas fixée, mais simplement posée et maintenue par des pierres. Ces fermes étaient organisées de telle sorte à éviter les déplacements au froid et sous la neige.
Le hameau des Alpes, inauguré dans la décennie 2010, se compose d’une maison traditionnelle réimplantée. Contrairement à la maison du patrimoine au Grand-Bornand, son aménagement ne permet pas de retracer la vie des familles de l’époque. En revanche, cette maison permet de découvrir le reblochon sous toutes ces facettes ainsi que le début du ski à La Clusaz, qui est devenu un véritable pan de l’histoire du village au siècle dernier.
Cette maison du hameau des Alpes dispose d’annexes, un four banal traditionnel, des greniers renfermant les trésors d’antan et une véritable scierie traditionnelle de montagne.
Le musée du hameau des Alpes
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Un grenier d’antan réimplanté en décoration sur un rond-point du centre du village
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Le patrimoine de La Clusaz, c’est aussi son église et ses chapelles (le Gotty, les Confins et les Aravis), témoignant de la présence du christianisme. L’église actuelle a été reconstruite en 1974. Néanmoins, le clocher actuel date de 1762, conservé de la première église construite en 1751.
L’église Sainte-Foy
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La chapelle du Col des Aravis, lieu également réputé pour la vente de produits traditionnels
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La chapelle des Confins
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L’urbanisme et le développement de La Clusaz au XXème siècle
Au début du XXème siècle, la Clusaz est un petit village de montagne composé d’un bourg autour de l’église Sainte-Foy et d’une multitude de hameaux.
Le bourg était principalement constitué de maisons en pierre. La route provenant de Saint-Jean de Sixt par le défilé passait au coin de l’église avant de monter en direction de la Perrière où le bourg se finissait à l’époque. On trouvait alors la séparation de la route pour rallier les Confins d’un côté, et le col des Aravis de l’autre. Le long de cette route se trouvait les commerces, et notamment le premier hôtel du village : les “Aravis”, situé en contrebas de l’église. Si la plupart des maisons ont été reconstruites au fil du temps, il en reste certaines qui ont traversé le dernier siècle, comme par exemple celui qui héberge les bars/restaurants du refuge, du grenier et de la Calèche. Au début du siècle, ce bâtiment avait accueilli l’hôtel du “Lion d’Or” mis en service en 1926.
Les arcades de la place de l’église
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Une nouvelle résidence de tourisme, venu prendre la place du plus ancien hôtel de La Clusaz
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L’extension du bourg à partir des années 1960 sur la Perrière
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Avec le développement du tourisme lié à l’accroissement de l’accessibilité du village et de la démocratisation des activités (la randonnée et le ski), le bourg s’est adapté pour répondre à la venue des vacanciers. Aujourd’hui, il s’est étendu tout autour de l’église et sur une vaste surface puisqu’il a grignoté tous les terrains des Riffroids jusqu’au Bossonnet !
La partie basse du bourg de nos jours, avec le clocher de l’église au milieu
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La partie haute du bourg sur le secteur de la Perrière
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Aujourd’hui, le bourg accueille de nombreuses générations d’architecture, chacune correspondante à l’époque de la construction des bâtiments. Après de nombreuses années où le bois était proscrit des constructions du bourg à cause du risque d’incendie, ce matériau avait refait son apparition dans les années 1960, bien qu’il ne représentait qu’une faible part du bâtiment global. C’est surtout à partir des années 1990 que sa présence a explosée, afin de retrouver des chalets neufs typiques de la tradition d’origine. Il est à noter que le bois était aussi bien utilisé dans les chalets individuels que les bâtiments collectifs, comme le témoigne de nombreux immeubles “bon marchés” qui ont été conçus dans les années 1960/70 afin de loger plus de vacanciers mais également de permettre aux nouveaux cluses d’acheter un logement :
Un immeuble typique de l’architecture des années 1980/début des années 1990
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Comme évoqué plus haut, la Clusaz c’est aussi ces nombreux hameaux qui sont implantés tout le long des deux vallées. Quelques-uns des hameaux possèdent d’ailleurs leur lieu de culte, à savoir une chapelle évitant ainsi aux habitants de se déplacer jusqu’à l’église à l’époque où les voitures n’existaient pas !
Tous ces hameaux ont été agrandit au fil du temps, mais sans pour autant encore se transformer en nouveaux villages contrairement au Chinaillon dans le village voisin du Grand-Bornand. En revanche, la pression immobilière importante fait que tous les terrains situés le long des routes des Confins et du Col des Aravis voient apparaitre de nombreux chalets, avec le risque qu’à terme les hameaux ne puissent plus être séparés du bourg. Le Gotty témoigne particulièrement de cette aménagement, le secteur du Champ Bleu demeurant le dernier endroit suffisamment vierge d’habitations pour permettre la distinction du bourg d’un côté, et du grand hameau de l’autre.
La Praise, qui prolonge le hameau du Gotty en direction du col des Aravis
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Au premier plan, le hameau des Fiaux juste avant d’arriver au Gotty, et derrière le hameau des Verrier
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Le hameau des Confins, s’il est encore aujourd’hui à l’abri de la pression immobilière, vient du fait qu’il est plus à l’écart sur un plateau. Les activités qui se sont développées là-haut sont notamment le ski de fond et le golf, attirant une clientèle de moindre mesure par rapport à la partie basse du village
Le hameau des Confins
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Les autres petits hameaux, qui ne se sont pas étendus, mixent aujourd’hui de vieilles fermes agricoles avec des nouveaux logements construits pour faire office de résidence aux habitants de La Clusaz. Néanmoins, on constate de plus en plus de locations, qui risquent ainsi de devenir majoritaires à l’avenir même dans les hameaux.
Le hameau des Verrier sur le bas du Crêt du merle
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Chalets individuels aux Converses
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Les infrastructures d’accueil
La Clusaz possède de nombreuses infrastructures dans tout le village. Il y a tout d’abord un office de tourisme situé sur la place de l’église, et permet de renseigner et guider les vacanciers. Ce sont eux qui s’occupent également de l’animation et la gestion de nombreux évènements (pots d’accueil, le carnaval, les Pestacles du Père Noël,…)
L’office du tourisme, sur la place de l’église
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La Clusaz, c’est aussi sa grenette située juste devant l’Eglise. Véritable vestige du temps des marchés pour les villageois, elle est désormais très utilisée pour les animations quotidiennes de l’office de tourisme, sans oublier sa fonction de lieu de rencontre, au travers d’activités, du marché et de spectacle.
La grenette
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Côté logements, La Clusaz est équipé d’une bonne offre, que ce soit sous forme de logements individuels ou d’hôtels. Ces derniers ont la particularité de s’être implanté sur tout le territoire communal, y compris dans des petits hameaux reculés et sur des sommets du domaine skiable comme en témoigne l’hôtel qui avait été construit sur la Pointe de Beauregard !
“Au cœur du village”, l’un des derniers aménagements résidentiels en dat
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De nombreux commerces bordent les rues du village : des restaurants, des magasins de matériel de ski et de VTT, des produits artisanaux allant du reblochon à la charcuterie.
Si autrefois des centres de vacance pour enfants existaient à La Clusaz, ils ont finalement tous disparus, reconvertit en résidences de tourismes ou autres types d’hébergements.
Pour ceux qui viennent “léger”, un camping est également implanté sur la route des Confins, au hameau du Var.
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Les activités
La Clusaz a la particularité d’avoir su développer sa gamme d’activités, autant pour les vacanciers ayant choisi cette destination que pour les habitants. En effet, pour ces derniers, c’est un moyen supplémentaire de les fidéliser et les garder. Ainsi, des activités telles que la piscine, le Big air bag ou le tir à l’arc cohabitent avec les jeux d’enfants et les tennis.
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Les activités d’hiver :
Lorsqu’il y a de la neige et/ou qu’il fait froid, les sports de glisse peuvent être pratiqués. Parmi eux, on trouve :
- le ski alpin
- le ski de fond
- le ski de randonnée
- les raquettes
- la luge
- la patinoire d’hiver
Le ski de fond ne peut se faire que sur les Confins, et la patinoire uniquement au village. Dans le cas du domaine skiable alpin, il est accessible depuis quatre endroits : Champ Giguet et le Bossonnet depuis le village, l’Etale depuis le secteur du Gotty et les Chenons depuis le secteur des Confins.
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Les activités d’été :
Le reste de l’année, et principalement en été, beaucoup d’autres activités peuvent être pratiquées. Vous en trouverez le détail sur la page des activités estivales.
Le gros des activités de la station se déroulent aux quatre coins du centre du village, ces endroits étant reliés par navettes ou à pied pour les bons marcheurs ! Si plusieurs activités se déroulent au Champ Giguet, certaines avait été historiquement installés à des endroits reculés sous la pression immobilière élevée du cœur du centre du village.
* Le pôle central est le Champ Giguet, rassemblant le plus d’activités (le trampoline, les terrains de pétanque, la patinoire, la luge d’été et le Big Air Bag).
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Voici quelques images de cet espace de loisirs :
Champ Giguet, point de départ des remontées mécaniques de Beauregard et de la patinoire, juste en contrebas de la place de l’église
La piscine, qui a pris place au pied des éboulis de la Perrière
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Quelques photos supplémentaires en vrac…
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<- Le Fernuy d'en haut, sur les pentes du Danay |
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<- Le col des Aravis | |
<- Marché hebdomadaire sur la place de l'église | |
<- Le lac des Confins |
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<- Coucher de soleil sur la chaîne des Aravis | |
<- En randonnée sur les chemins du village |
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<- En montant au col des Aravis, le rocher de Borderan où se situe la via ferrata | |
<-Le centre du village en été |
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<- La Point de Merdassier vue depuis le massif de l'Aiguille |
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<-Une nouvelle vue du centre du village avec le Champ Giguet | |
<- La vallée des Confins vue depuis Beauregard |
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<-Coucher de soleil un soir d'été sur les Confins |
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Perspectives
A proximité des bassins genevois et Annéciens, La Clusaz se positionne comme une station touristique de proximité disposant de nombreux atouts. En effet, son accessibilité a été reconnue dès le début du XXème siècle et ses 1700 habitants à l’année lui permet de garder une âme vivante toute l’année !
Le développement touristique va ainsi de pair avec le cadre de vie de la population : le patrimoine est respecté, comme en témoigne les investissements récents. Aujourd’hui, La Clusaz veut se développer sur le tourisme quatre saisons puisqu’il apparaît qu’il n’y a plus que le ski et la détente qui soient au cœur de la préoccupation des vacanciers. La randonnée et la découverte du territoire font partie intégrante du nouvel axe de réflexion de la commune : la chaîne des Aravis, le Col des Aravis, les lieux du patrimoine, Beauregard, et les Confins sont autant de pistes à continuer d’être exploités…
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